nom(s) & prénom(s) ; ⤷ Vadim Vasiliev. Derrière ce mélange de puissance et de délicatesse se cache un homme façonné par les luttes et les épreuves. Ton prénom, "Vadim", est une symbiose parfaite de force et de sophistication, tandis que "Vasiliev" évoque des échos de grandeur et de sacré, des histoires anciennes que tu portes en toi comme un armure. C'est un nom qui fait trembler les murs et glisser des frissons le long de la colonne vertébrale de ceux qui osent te croiser.
date & lieu de naissance ; ⤷ Né le 12 mai, à Lviv, en Ukraine. Une ville où l’histoire s’entrelace avec les rêves, mais aussi avec la douleur. À 15 ans, la vie t’a arraché à ces ruelles pavées, te laissant un héritage de souvenirs colorés, des éclats d’une enfance effacée. Ta famille a émigré vers les États-Unis, emportant avec elle un passé complexe que tu chéris et déteste à la fois. Les visages familiers, les rires partagés, les soirées passées à écouter les histoires des anciens, tout cela n’est plus qu’un écho lointain dans le labyrinthe de ta mémoire. L’Amérique, avec ses lumières éclatantes et ses promesses illusoires, t’a offert un nouveau départ, mais à quel prix ? Ce pays qui se dresse devant toi, majestueux et déroutant, est aussi celui qui a englouti l’histoire de ta famille, transformant tes racines en ombres. Chaque coin de rue à Los Angeles te rappelle ce que tu as perdu et ce que tu n’as jamais pu retrouver. Lviv reste gravée dans ton cœur, un souvenir fugace qui t’accompagne, te rendant à la fois plus fort et plus vulnérable. C’est ce mélange de nostalgie et de détermination qui façonne l’homme que tu es devenu, un guerrier des temps modernes, naviguant entre deux mondes, toujours en quête de ta place dans un univers où le passé et le présent s’entrechoquent.
nationalité & origines ; ⤷ Américain d'origine ukrainienne, tu portes en toi le poids et la beauté de tes racines d'Europe de l'Est. Tes traits évoquent cette lignée lointaine, avec des yeux clairs et perçants, deux éclats d'acier, défiant le temps et la distance. Même après toutes ces années passées sous le soleil californien, cette intensité ne s'est pas estompée. Ton accent, légèrement marqué, résonne comme une mélodie ancienne dans les rues de L.A., une touche unique qui te distingue de la masse. Dans ce paysage urbain où les codes américains s'entrelacent, tu es un pont entre deux mondes. Tu mêles avec aisance l’insouciance d’un nouveau départ aux leçons de loyauté et de dureté que ta culture t’a inculquées. Chaque mot que tu prononces porte l'écho de ton passé, te suivant comme une ombre, te rappelant d'où tu viens tout en te propulsant vers ce que tu es devenu.
statut civil, orientation, genre & pronoms ; ⤷ Pansexuel. Tu es attiré par des personnes, indépendamment de leur sexe ou de leur identité de genre. Pour toi, l’attirance va bien au-delà des catégories traditionnelles ; ce que tu recherches avant tout, c’est une connexion authentique, une profondeur qui dépasse l’apparence. Ta façon d’aimer est ouverte, fluide, et te permet de vivre des relations variées, qu'elles soient éphémères ou plus marquantes, tout en restant fidèle à toi-même.
⤷ Célibataire. Tu préfères les relations sans attaches, ces liens légers qui te laissent toute la liberté d’aller et venir à ta guise. Tu savoures les rencontres passagères, appréciant la spontanéité qu’elles apportent à ton quotidien. Pourtant, malgré cette indépendance, tu sens parfois ce désir de connexion plus profonde, même si t'engager véritablement reste pour toi un terrain incertain.
⤷ Il/lui. Tu t’identifies pleinement avec ces pronoms, qui traduisent ta personnalité affirmée et ton assurance au quotidien.
occupation ; ⤷ En tant que mécanicien, tu es le maître des moteurs, celui qui connaît chaque pièce de chaque véhicule comme sa poche. Ta passion pour les voitures t’a permis de transformer ton atelier en un véritable temple de la vitesse, où tu modifies et répare des véhicules pour des clients exigeants. Dans cet environnement, tu es à l'aise, maniant les outils avec une précision qui impressionne. Cependant, ta vie ne se limite pas à la mécanique. Dans les bas-fonds de Los Angeles, lorsque certains débiteurs refusent de payer leurs dettes ou tentent de se dérober, tu deviens le dernier recours de ton crew. Avec une diplomatie brutale et une menace calculée, tu t’assures que les choses rentrent dans l’ordre. Ta réputation te précède : dans ce monde où les dettes s’entassent et où les excuses ne valent rien, tu sais comment faire pression pour obtenir ce qui t’est dû. En jonglant entre ton rôle de mécanicien, où tu trouves un certain réconfort et une passion, et celui de recouvreur, où tu affrontes la dureté du monde, tu navigues dans un équilibre fragile. Ta vie est une course illégale, non seulement sur les routes, mais aussi dans les affaires, et tu es prêt à tout pour garder le contrôle, que ce soit sous le capot d'une voiture de course ou face à un débiteur récalcitrant.
organisation ; ⤷ Tu n’appartiens à aucun syndicat ni cartel officiel, et c’est peut-être ce qui fait ta force. Actuellement, tu es le recouvreur pour ton crew, agissant comme le dernier recours quand les débiteurs refusent de payer leurs dettes. Ton seul patron, c’est l’argent liquide, et ta loyauté va à ceux qui savent te payer. Cependant, si une opportunité plus lucrative se présente, tu n’hésiteras pas à changer de loyauté. Pour toi, peu importe la bannière – seul le résultat et la discrétion comptent, et ton obsession pour l’argent te pousse à prendre des décisions parfois discutables.
traits de caractère ;[+++] résilient, sincère, altruisme discret, passionné, débrouillard, courageux, protecteur, réaliste, flexible
[---] impulsif, pessimiste, autocritique, violence latente, solitaire, fier, impatient, évitatif, indépendant à l’excès, vigilant, avaricieux
· anecdote 1 ; Tu parles peu de ton passé, et même ceux qui te connaissent depuis des années n’ont que des bribes. Tu as découvert qu’en laissant planer le mystère, les gens finissent par te laisser tranquille, et c’est exactement ce que tu souhaites. Le passé, c’est un poids que tu n’as jamais voulu partager. Parler de ton histoire, c’est laisser une partie de toi-même à découvert, et ça, c’est quelque chose que tu n’es pas prêt à concéder.
· anecdote 2 ;Quand un problème surgit, tu ne passes pas par quatre chemins. Pour toi, la confrontation est souvent plus simple, plus vraie que de tourner autour du pot. Si quelqu’un te cherche, il te trouve, et il apprend vite que tu n’es pas du genre à reculer. Les bagarres, ce n’est pas juste pour te défouler ; c’est ta façon de t’assurer que chacun connaît ses limites.
· anecdote 3 ; L’idée même de rester en place te semble étrangère. Pour toi, la vie se mesure en trajets, en kilomètres. Tu as besoin de cette sensation d’être en mouvement, même si tu ne vas nulle part de précis. Parfois, tu pars conduire sans destination, juste pour le plaisir de sentir la route sous les pneus, pour te rappeler que, tant que tu avances, rien ni personne ne peut vraiment te retenir.
· anecdote 4 ; Tu as toujours stocké des objets qui, pour les autres, n’ont aucune valeur – un vieux porte-clés trouvé dans une voiture abandonnée, une photo délavée d’un endroit que tu ne reconnais même pas. Ces petits souvenirs racontent des histoires que toi seul connais. C’est une façon de préserver le passé sans y être attaché. Les gens te demandent pourquoi tu les gardes, et tu réponds toujours en esquivant, parce qu’expliquer l’importance de ces reliques casserait un peu leur charme, non ?
· anecdote 5 ; Même entouré de ton crew ou de tes amis, tu ressens ce besoin presque vital de te retrouver seul, comme si le monde te prenait quelque chose à chaque interaction. Seul, tu trouves une clarté rare, un calme qui te recharge. Souvent, tu te faufiles dans des ruelles sombres ou dans un garage désert pour savourer le silence, qui devient pour toi une seconde peau. En ces instants, tu penses, tu rêves, tu planifies, et tu revisites tes propres choix. Les gens pensent que tu es distant, mais la solitude, pour toi, c’est juste une nécessité.
· anecdote 6 ; Tu n’as jamais aimé les endroits clos. C’est comme si chaque mur rapproché te privait d’un peu d’air, d’un peu de liberté. Dans les petites pièces ou les ascenseurs, tu sens tes instincts se réveiller, prêts à te faire bondir dehors. C’est une habitude qui intrigue les autres, mais pour toi, c’est aussi simple que vital – l’espace, c’est ta façon de respirer, de rester toujours libre de mouvement.
· anecdote 7 ; À ton poignet, il y a une corde en cuir nouée – un souvenir d’Angel. C’était un pari stupide, une nuit de beuverie. Vous aviez tous deux promis de garder un symbole, une sorte de totem de loyauté. La corde s’est usée, le cuir s’effiloche, mais tu ne te vois pas la retirer, même si certains te demandent pourquoi tu portes “un truc pareil.” C’est ton rappel qu’il y a des choses qu’on ne remplace pas.
· anecdote 8 ; Il y a chez toi une règle tacite : ne jamais poser de questions que tu ne voudrais pas te voir poser en retour. Tu as appris à respecter la vie privée des autres, à ne jamais forcer quelqu’un à partager plus que ce qu’il est prêt à donner. Cette approche te rend mystérieux aux yeux des autres, mais tu ne fais que suivre ta propre éthique, valorisant la discrétion et le respect des secrets de chacun.
· anecdote 9 ; Les anniversaires, ça n’a jamais été ton truc. Depuis que tu es jeune, tu ressens une certaine réticence à les célébrer. Pour toi, c’est un rappel que le temps passe sans nécessairement apporter de réponses ou de paix. Alors, tu les ignores, tu ne dis rien aux autres. Et si quelqu’un te souhaite “bon anniversaire,” tu te contentes de hausser les épaules avec un sourire énigmatique.
· anecdote 10 ; Tu fais souvent ce rêve étrange où tu te retrouves seul, en haut d’une montagne, regardant en bas un monde qui semble si petit, si loin. C’est un rêve qui te laisse toujours un peu vide, mais il a quelque chose de puissant, presque mystique. Tu n’en parles jamais, mais cette image t’accompagne, comme un symbole de ton désir d’évasion et de solitude.
· anecdote 11 ; Pour toi, les mensonges, même ceux qui semblent anodins, sont insupportables. La vérité, aussi brutale soit-elle, a bien plus de valeur que les fioritures que les gens ajoutent pour “adoucir” les choses. Si quelqu’un te ment, même pour une chose sans importance, c’est fini. Tu as toujours été direct, et tu attends la même franchise en retour. C’est peut-être pour ça que certains te trouvent froid ou insensible.
· anecdote 12 ; Parfois, tu te surprends à rêver d’espace, de vastes paysages, comme une réaction instinctive aux limites de la ville. Que ce soit un désert, une montagne, ou une forêt, tu ressens ce besoin viscéral d’étendre tes horizons, d’échapper au béton et à l’agitation. Ce rêve, tu le gardes en toi, comme une échappatoire possible, une promesse silencieuse de quelque chose de plus grand.
· anecdote 13 ; Quand la nuit a été longue et que tu ne rentres qu’aux petites heures, tu fais parfois un arrêt dans les marchés matinaux de la ville. Là, entouré d’odeurs de café et de produits frais, tu te laisses emporter par la simplicité de ces matins qui semblent tout droit sortis d’un autre monde.
· anecdote 14 ; S'il y a une soirée où tu ne veux pas être dérangé, tu montes sur les toits, souvent avec un bon café ou une bouteille de bière. Pour toi, il n'y a rien de plus apaisant que de voir la ville s'étendre à perte de vue, tout en sachant que tu es loin du bruit et du monde en contrebas. Ces moments seuls sont précieux, comme des bulles de calme.
· anecdote 15 ; Ta vie n’a jamais eu rien d’un conte de fées ; au contraire, elle s’est toujours apparentée à une lutte, un sentier escarpé où chaque pas te laissait une cicatrice. Dès ton enfance, tu as été confronté à la dure réalité des rues ukrainiennes, où l’avenir n’appartenait pas aux rêveurs, mais à ceux qui savaient se battre. Chez toi, les tensions et les silences lourds occupaient plus de place que la chaleur familiale.
· anecdote 16 ; Ton adolescence a été marquée par le manque de tout — que ce soit pour tes études ou ces petits plaisirs que tu entendais d’autres décrire sans jamais les connaître. Très vite, tu as appris à te débrouiller seul, trouvant dans l’atelier de ton oncle une sorte de refuge. Là, au milieu des vieilles carcasses de voitures, tu pouvais t’échapper, loin de la grisaille du quotidien et des attentes étouffantes.
· anecdote 17 ; Le monde autour de toi n’avait rien de bienveillant, et tu l’as compris assez tôt. À l’école, tu étais ce gamin au regard dur, celui qu’on pensait peut-être trop cabossé pour suivre les règles. Les profs te voyaient comme un perturbateur, mais pour toi, l’école n’était qu’un passage obligatoire. Les vraies leçons, tu les apprenais ailleurs : dans les rues, dans les entrepôts où tu trimais pour quelques billets, dans les regards de ceux qui, comme toi, cherchaient à échapper à cette routine écrasante.
· anecdote 18 ; Les petits boulots se succédaient, les amitiés s’épuisaient, et la famille semblait toujours plus éloignée. Mais c’est justement dans ces moments-là que tu as développé ta détermination, une rage intérieure qui refusait de se laisser abattre. Plutôt que de te laisser écraser, tu t’accrochais à tes rêves, les forgeant à coups de renoncements et de sacrifices, de nuits blanches passées à bricoler des moteurs usés ou à te perdre dans des pensées trop lourdes pour être partagées.
· anecdote 19 ; La cicatrice sur ton avant-bras, fine mais visible, est bien plus qu’une simple marque physique ; c’est une histoire gravée dans ta peau, un souvenir d’une jeunesse tumultueuse où la ligne entre l’amour et la colère pouvait facilement s’estomper. Cette cicatrice, tu l’as reçue de ton frère lors d’une dispute qui avait éclaté comme un orage, imprévisible et violent. Vous aviez tous les deux la tête brûlée, chacun tiraillé entre des désirs contradictoires, des rêves impossibles à partager sans heurts. Ce jour-là, les mots avaient fusé, mordants et impitoyables, laissant place à un affrontement où ni l’un ni l’autre ne voulait céder. Quand la tension s'est dissipée, et que le silence s'est installé, il ne restait que ce souvenir brûlant sur ton avant-bras, une blessure qui aurait pu être plus profonde que la peau. Au départ, tu t'en voulais de porter cette marque, de voir dans chaque coup d’œil vers ton bras un rappel de cette violence instinctive qui avait pris le dessus sur tout le reste. Mais avec le temps, ton regard a changé. Cette cicatrice est devenue un signe de résilience, une trace de ce que vous avez dû traverser pour apprendre, grandir, et surtout pour comprendre à quel point ces disputes faisaient partie de quelque chose de bien plus grand que vous. Tu as fini par la voir comme un symbole de la complexité de vos liens, de cette dualité où l'amour fraternel se mêle parfois à des désaccords profonds. Pour toi, elle témoigne d’une vérité essentielle : les liens de sang ne sont pas toujours simples, ils peuvent être marqués de douleurs et de conflits, mais ils forgent une solidarité qui reste inaltérable, même dans les moments de crise. C’est cette marque qui te rappelle que, malgré tout, tu as un frère avec qui tu partages un passé unique, une histoire où chaque blessure, chaque cicatrice, même la plus douloureuse, est aussi une preuve de cette vie que vous avez construite ensemble, avec ses hauts, ses bas, et ses moments de complicité inattendue.